18 juillet 2005
Le glas
Une grosse claque, un jour comme un autre... Un appartement vide et un temps pesant. Pour la peine, je sens vraiment les courants d'air se faufiler partout, qu'ils soient vrais ou de simples relans qui reviennent toujours tôt ou tard. En attendant que l'ambiance se calme, ou s'agite, je me dis que si je me décide vraiment à m'isoler tout le mois d'août, ce sera la même chose, plus ou moins. Alors j'attends, sans trop me poser de question, parce que de toute façon ce soir j'ai une visite pour la colloc, et personne à voir pour faire passer ça, alors à quoi bon?
Le temps se couvre... Il reviendra demain.
Kiss
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